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Participez à la Journée de prière et d’action pour les enfants

 

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Pour la Journée de Prière et d’Action pour les Enfants qui a lieu le 20 novembre en parallèle de la Journée Mondiale des Droits de l’Enfant, le BICE se mobilise et vous engage à le faire aussi. Découvrez comment.

En 2008 a été lancée la « Journée de Prière et d’Action pour les Enfants », dans le but de donner une dimension spirituelle à la Journée Mondiale des Droits de l’Enfant, célébrée chaque année le 20 novembre. Le succès de cette initiative va grandissant et l’an dernier, 230 000 personnes ont participé à des événements organisés dans 72 pays.
Le BICE soutient pleinement à cette Journée et propose de la dédier en 2012 aux enfants victimes des conflits, si nombreux cette année.

Pour participer vous aussi à cette Journée de Prière et d’Action pour les Enfants, envoyez-nous tout d’abord vos intentions de prières et pensées dédiées aux enfants, à l’adresse contact@backup.bice.org ou par voie postale au BICE, 70 Bd de Magenta, 75010 Paris. 

Ces intentions de prières seront recueillies lors de la messe qui aura lieu à cette occasion le samedi 24 novembre à partir de 18h au Couvent de l’Annonciation, 222 rue du Faubourg St Honoré, 75008 Paris. Nous vous invitons à assister à nos côtés à cette célébration et à la conférence intitulée « Les enfants, premières victimes des conflits » qui suivra à 19h.
 
Le Frère Olivier Poquillon o.p. sera l’intervenant de cette conférence. Délégué permanent de l’ordre des Dominicains auprès de l’ONU et directeur de l’organisation Dominicains pour Justice et Paix, il a notamment servi plusieurs années en zones de conflit en Afrique et au Moyen Orient et viendra partager avec nous son expérience : « En temps de guerre, les enfants sont ceux qui souffrent le plus : ils forment l’essentiel des morts, des blessés, des traumatisés. Acteurs ou victimes des combats, ils continuent à en pâtir une fois les hostilités terminées. Mais alors qu’ils sont totalement victimes, les enfants sont paradoxalement aussi les premiers vecteurs d’espoir, car l’attention portée à l’enfant est la dernière chose qui demeure quand tout le reste s’est effondré. Ils démontrent aussi par eux-mêmes d’extraordinaires capacités de résilience qui peuvent influencer positivement leurs communautés. C’est de cette grande injustice qui leur est faite mais aussi de leur force que je veux témoigner. »

Nous vous attendons aussi nombreux que possible pour ce moment important dédié aux enfants.

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