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Le droit à l’alimentation est aussi un droit de l’enfant
©T. Louapre
Publié le

Protégeons les enfants contre la malnutrition

La malnutrition fait des ravages dans le monde. Les enfants sont bien souvent les premières victimes de ce fléau. A son échelle, avec ses partenaires sur le terrain, le BICE intègre dans ses projets un soutien alimentaire aux enfants les plus démunis.

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Lutter contre la malnutrition des enfants : un enjeu mondial

On estime aujourd’hui que 795 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde, soit 1 personne sur 9. [source : WFP].  La pauvreté est une cause et une conséquence de la faim et de la malnutrition.

Les enfants sont bien souvent les premières victimes de la faim et de la malnutrition, qui ont des conséquences sur leur santé, leur développement mais aussi sur leur éducation.

Dans les régions en développement, 66 millions d’enfants en âge d’aller à l’école y vont le ventre vide, dont 23 millions rien qu’en Afrique. [source : WFP]

Le droit à l’alimentation est un droit fondamental de chaque enfant, reconnu par la Convention des droits de l’enfant. En outre, l’élimination de la faim et de la malnutrition fait partie des Objectifs de Développement Durable que les Etats membres de l’ONU se sont engagés à mettre en œuvre d’ici à l’horizon 2030.

A travers ses projets le BICE agit pour le droit à l’alimentation

Les projets du BICE (lutte contre l’abus sexuels, accès à l’éducation, justice juvénile) ont bien souvent en commun un volet de soutien alimentaire.

Ainsi, au Paraguay, le BICE et son partenaire Callescuela mettent en œuvre un projet d’accès à l’éducation des enfants travailleurs ou vivant dans la rue. En plus des séances quotidiennes de soutien scolaire, une collation – un verre de lait et un biscuit – leur est fournie à l’heure du goûter.

De même, en Côte d’Ivoire, au Mali et en RDC, le BICE et ses partenaires servent quotidiennement un repas aux enfants qu’ils accompagnent.

Comme le souligne Marie-Laure Joliveau, chargée des projets Afrique au BICE :

« Bien souvent, le fait d’avoir un repas motive les jeunes issus de la rue ou résidant loin de leur lieu de formation professionnelle à être assidus. Ils n’ont plus besoin de consacrer de temps pour chercher de quoi se nourrir et peuvent se concentrer, car ils n’ont plus faim. C’est un élément de stabilité qui favorise la persévérance des jeunes dans leur insertion. »

Parce qu’agir pour la protection des droits de l’enfant et de sa dignité, signifie également lutter contre la malnutrition !

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