Le 2 octobre, date anniversaire de la naissance de Gandhi, marque la Journée internationale de la non-violence. L’occasion pour le BICE et pour chacun de nous de s’engager toujours plus pour promouvoir la paix et la bientraitance.
Chaque année, l’ONU célèbre la Journée internationale de la non-violence le 2 octobre, date anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi, figure de l’opposition pacifique face à l’oppression et la haine.
Dans son message publié à l’occasion de cette journée, le Secrétaire général des Nations unies appelle “tous les citoyens du monde” à un engagement personnel contre la violence. “L’action destinée à mettre fin à cette violence peut commencer avec chacun d’entre nous – à la maison, à l’école, au travail, explique Ban Ki-moon. La violence peut être contagieuse, mais le dialogue pacifique peut l’être également”, poursuit le Secrétaire général de l’ONU.
Contre la violence, l’engagement quotidien du BICE
Au BICE, la lutte contre la violence et la promotion de la paix sont notre travail quotidien :
- Des actions de terrain concrètes sur quatre continents ont lieu pour lutter contre la maltraitance dont sont victimes les enfants et promouvoir la bientraitance dans les familles et les communautés.
- Le plaidoyer international permet de porter la parole des enfants auprès des Etats et des instances internationales. En négociant des résolutions à l’ONU, par des interventions écrites ou orales au Conseil des droits de l’homme ou au Comité des droits de l’enfant, le BICE influe sur les décisions publiques.
- Dans ses programmes et ses publications, le BICE explore depuis de nombreuses années les multiples facettes de la résilience. Cette capacité des enfants à se reconstruire malgré des traumatismes mérite d’être étudiée pour aider les enfants victimes à retrouver leur dignité.
- A l’occasion de la Journée mondiale des droits de l’enfant, le 20 novembre, le BICE se fait le relais en France de la Journée de prière et d’action pour les enfants. Le thème international “Stop à la violence” propose aux enfants comme aux adultes de s’engager pour cesser la violence et la faire cesser autour d’eux. La JPA constitue par ailleurs une occasion pour le BICE de sensibiliser aux droits des enfants, si souvent bafoués, et de donner une dimension spirituelle et solidaire à la Journée mondiale des droits de l’enfant.
Le BICE ne peut rien faire seul. Chacun à son échelle, quel que soit sa culture, sa religion, ou son âge peut et doit participer à la construction d’un monde plus juste, plus pacifique, plus fraternel.
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