Pestiférée pour quelques poux

La pauvreté est présente à l’école, comme ailleurs dans la société. Mais elle s’y fait discrète, car les familles en difficulté font l’impossible pour qu’elle ne singularise pas leurs enfants. Pourtant il arrive que l’institution elle-même stigmatise les élèves pauvres, négligeant ses propres responsabilités. Ce peut être à l’occasion d’événements mineurs en apparence, comme une invasion de poux. Mais à hauteur d’enfant, cela peut devenir un drame. A hauteur de Myléna, 9 ans, par exemple… Pensez-vous que les services de protection de l'enfance auraient dû être saisis pour aider la famille de Myléna ? Les parents sont-ils fautifs ou complètement démunis ? Les enfants de familles pauvres peuvent-ils se construire comme les autres ? Réagissez et posez vos questions dans l'espace de débat ci-dessous. {jcomments on}