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Résilience et sourire au cœur de Journée mondiale de l’enfance 2017 du BICE
©Vicaría Pastoral Social Caritas
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Résilience et sourire au cœur de Journée mondiale de l’enfance 2017 du BICE

Le BICE avait choisi de placer la journée mondiale de l’enfance 2017 sous le signe de la résilience et du sourire. Les retours, magnifiques, des partenaires montrent à quel point le sourire des enfants est universel… et contagieux.

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Le 20 novembre dernier, à l’occasion de la journée mondiale de l’enfance, le pape François invitait, chacun d’entre nous à « œuvrer ensemble pour que les enfants puissent nous regarder en souriant et conservent un regard limpide, plein de joie et d’espérance. » Tant il est vrai que le sourire d’un enfant est la plus belle promesse d’avenir. Et qu’il convient à nous, adultes, d’assurer les moyens pour le faire naître et grandir sur chaque petit visage rencontré.

Résilience et sourire au centre de l’activité du BICE pour la journée mondiale

Le BICE avait, de même, choisi de célébrer cette journée en proposant à ses partenaires une activité sur le thème de la résilience et du sourire.
Ces derniers étaient invités à lire aux enfants qu’ils accompagnent un conte autour de la puissance quasi magique du sourire, tant pour celui qui le donne que pour celui le reçoit. Les enfants pouvaient ensuite réagir et réfléchir ensemble au sens de l’histoire, puis exprimer ce qui, eux, les faisaient sourire.

Vidéos, photos-montages, confections de smiley, danses, textes, … les partenaires ont rivalisé de créativité pour permettre aux enfants de manifester pleinement et librement les sources de joies, petites et grandes, qui irriguent leur vie.

 

 

Le sourire comme sens et essence de l’enfance

De Lima (Pérou) à Bichkek (Kirghizstan) en passant par Yaoundé (Cameroun) et Saint Pétersbourg (Russie), les enfants ont partagé leurs joies simples et universelles : « jouer à la poupée », « se retrouver avec ses amies », « savoir que le Pérou va participer au Mondial 🙂 », « offrir des rubans à sa maman », « faire une partie de foot avec les copains », « avoir un petit chat »,…
Mais ils ont également cité des bonheurs plus profonds, sources durables d’espérance et d’épanouissement : « savoir que son papa a retrouvé un travail », « être sûr que son papa et sa maman l’aiment », « ne pas avoir peur », « se sentir protégé », « rêver de devenir professeur », …

L’activité a trouvé un écho tout particulier chez les 49 enfants du Groupe Jérémie (Bukavu, RD Congo). Dans l’école que certains élèves du groupe fréquentent, le préfet des études vient en effet d’ajouter une nouvelle disposition au règlement de l’établissement. Il est désormais « interdit de sourire ou encore de rire à l’école ». Une directive impensable pour les enfants qui ont rappelé, à l’occasion de l’activité, que le sourire est le propre de l’homme, et plus encore celui de l’enfant.

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