La 58e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies a débuté hier, lundi 24 février, et durera jusqu’au 4 avril 2025. Au cours de celle-ci, les États membres et observateurs, les organisations internationales, les experts et diverses associations examineront de près la situation des droits de l’homme dans différents pays, dont la République démocratique du Congo et l’Ukraine. Et aborderont des questions thématiques générales, certaines liées spécifiquement aux droits de l’enfant.
Petite enfance, violences à l’égard des enfants…
Par ses déclarations écrites et orales, le BICE s’attachera à dénoncer les violations des droits de l’enfant et proposera des recommandations concrètes, en s’appuyant sur son expérience pratique et celle de ses partenaires sur le terrain.
Notre association interviendra notamment au cours de la journée de débat dédiée aux droits de l’enfant. Dont le thème, cette année, est le développement de la petite enfance. Le BICE y évoquera l’éducation de la petite enfance au Cambodge, au Guatemala et au Paraguay. Trois pays dans lesquels le projet Écoles sans murs est réalisé. Une communication écrite est soumise à la session à cet effet.
Nous suivrons également avec attention :
- le dialogue interactif avec la Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question de la violence à l’encontre des enfants dont le rapport porte sur l’augmentation alarmante de la traite des enfants et sur le besoin urgent d’intensifier les efforts visant à mettre fin à cette forme de violence.
- l’adoption des rapports finaux de l’examen périodique universel de la Côte d’Ivoire et de celui de la RD Congo. Aux côtés de ses partenaires locaux, le BICE a en effet participé en 2024 à ces deux procédures en transmettant diverses recommandations. Sur la justice juvénile et la lutte contre les violences à l’égard des enfants en Côte d’Ivoire. Et sur la justice juvénile en RD Congo.