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Journée mondiale des malades
©David-Durnez-BICE
Publié le

Le BICE s’associe à la journée mondiale des malades

En cette Journée mondiale des malades, célébrée le 11 février, le Bureau International Catholique de l’Enfance invite chacun à prier ou à s’associer à la souffrance des malades. Unissons nos forces pour que les personnes affaiblies et handicapées puissent toujours garder leur dignité, aimer et être aimées.

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La Journée mondiale des malades a été instituée par Jean-Paul II en 1992. Elle est célébrée chaque année le 11 février, en la fête de Notre-Dame-de-Lourdes. Cette date est le jour anniversaire de la 1ère apparition de la Vierge Marie en 1858 à Lourdes. Le sanctuaire est aujourd’hui un haut lieu de pèlerinage pour la guérison des corps et des cœurs.

Cette Journée mondiale se veut joyeuse et pleine d’espérance. Il ne s’agit pas de désespérer de la maladie ou du handicap. Au contraire, l’événement nous invite à la solidarité avec ceux qui souffrent. Nous pouvons également nous rappeler et témoigner que la souffrance n’est pas incompatible avec le bonheur. On peut être malade, handicapé et pleinement heureux. A condition toutefois que la dignité de la personne soit respectée.

Malades, handicapés, âgés : tous dignes !

Depuis l’attentat de 1981, la santé de Jean-Paul II est fragile. Jusqu’à sa mort en 2005, ses soucis de santé et ses souffrances vont grandissants. Même très affaibli et décrié, le Pape continue ses apparitions publiques. Tout au long de son pontificat, et particulièrement les dernières années, il ne cesse de rappeler la dignité de toute personne, même malade, âgée, affaiblie, handicapée.

En cette Journée mondiale des malades, le BICE s’associe à la souffrance de ceux qui sont affaiblis. Déterminé à poursuivre ses actions en faveur des enfants handicapés, maltraités ou exclus, le Bureau International Catholique de l’Enfance invite chacun à prier ou à avoir une pensée pour ceux qui souffrent. Prions également pour les médecins, soignants et toute personne qui accompagnent ceux qui portent le poids de la maladie ou du handicap.

Agir au quotidien pour les personnes malades

Les personnes malades ou très âgées se sentent souvent inutiles, indignes de vivre car nécessitant d’être assistées ou accompagnées dans de nombreuses tâches du quotidien. Le regard et les gestes de chacun comptent. Même si nous ne savons pas quoi dire, prenons la peine d’un sourire, d’une visite, d’un coup de fil, d’un message. Une attention, même maladroite, vaut mieux que le silence. Partageons avec nos proches des idées pour prendre soin de ceux qui souffrent.

Que les personnes fragiles, et particulièrement les enfants, puissent trouver dans notre regard, dans nos gestes et nos paroles le réconfort dont ils ont besoin. A nous d’agir pour que chacun se sente digne, tout au long de sa vie. A nous de nous engager pour que chacun se sente aimé et puisse aimer en retour.

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